On parcourt les routes les plus défoncées de la Roumanie en maxi taxi sans amortisseur!
Arrivés à Constanta, on se barre direct sans même dire au revoir aux belges qui buvaient "une petite bière" pour Mamaia, l'endroit branché de la cote. On visite une chambre dans un hôtel, Julien va faire caca dans les toilettes. Finalement, on ne prendra pas la chambre et on s'en va pour Constanta, après avoir pourri les toilettes!
On passera 3 jours à se dorer la pillule à la plage. Il fait un temps magnifique et nous n'avons pas vu un nuage du séjour!
Quelle désillusion quand nous avons été à Mamaia pour profiter de la vie nocturne un mercredi soir... Tout était vide. Dans la rue une jeune femme nous aborde et nous propose "2 belles femmes pour la nuit pour massage, compagnie et sexe qui parlent anglais"! La prostitution a pignon sur rue. On refuse (ce fut dur pour Julien;)).
De toute façon nous on est plus "Fanta, cacahuètes niquage" que "resto, boîte et gentleman"!
A 2h du matin, on rentre en taxi, la personne parle français et nous raconte une anecdote qui nous a fait rire :
Il venait de rencontrer une femme française. Ne parlant pas bien, ils échangeaient dans un mélange d'anglais et de français. Alors qu'ils couchaient ensemble, la femme lui dit "doucement, doucement!". Or lui avait compris "too small, too small". Vexé, il y a donc été encore plus fort!
En arrivant devant chez nous, un travesti nous demande si on veut faire l'amour avec lui. Décidemment, ce soir on est très désiré!
Elle nous ont permis de goûter à la vie nocturne roumaine. Ces 2 filles étaient de la classe très haute roumaine. Elles nous ont emmené à la Cucarracha", un club select sur la plage. On a garé sa voiture entre les porsches, ferrari et autres audi. L'endroit était énorme, en plein air, avec de la musique à fond, les pieds dans le sable! On a dansé mais à 1h30, on a dû rentrer, tout le monde se lever aux aurores le lendemain.
Fin des vacances...